Anecdoctes 05

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Anal

Dans cette série, j’explore des univers et des situations très diverses. Cette anecdote ne déroge pas. attention, elle est…. particulière. J’aimerais vraiment avoir votre avis en commentaire ou en message privé. Bonne lecture.

C’est noir ou blanc, le néant? Je ne sais plus depuis combien de temps je suis dans cet état. Tout est vide et silencieux autour de moi. Je ne peux plus bouger, ni voir, ni entendre. Le monde extérieur est devenu une ombre lointaine, inaccessible.

Je ressens seulement le contact des choses sur ma peau. Le drap sous mes doigts est rugueux. Sur mon ventre et mes seins, le drap est plus doux. Je perçois la pression des mains des bourreaux, des touches froides et méthodiques sur mon corps nu. C’est comme si chaque contact était un écho, résonnant dans le vide de mon esprit. Le drap est retiré et je ne peux rien exprimer.

Chaque minute, heure ou jour est un long tunnel, sans début ni fin. Je me sens comme une coquille vide, flottant dans un océan sans fond. Ces mains sur moi, ces touches, sont les seules preuves que je ne suis pas seule. Pourtant, je suis enfermée dans ce corps, coupée du monde, incapable de m’exprimer. Je suis un vaisseau sans capitaine, dérivant dans une mer de silence. Les bourreaux sont comme des fantômes, invisibles, mais présents par leurs gestes. Je voudrais crier, bouger, mais je ne peux que ressentir. Les jours se fondent en nuits, les nuits en jours, sans fin.

L’un d’eux passe un objet doux sur la plante de mes pieds. Je suis chatouilleuse. C’est horrible de ne pas pouvoir rire, bouger, éviter cette odieuse caresse sur mes deux pieds. Ça dure un moment interminable et horrible.

D’ignobles mains caressent mes jambes et progressent vers mes genoux. C’est presqu’agréable par rapport aux chatouilles mais après les genoux, elles montent encore. Seules mes sensations concentrent mon esprit. Mais quand mon visage est touché, je n’arrive plus à me fixer. Quelque chose touche mes lèvres! Je crois que ma bouche est ouverte et qu’un truc chaud est dedans.

Puis, tout s’arrête. Ils sont partis ou je les ai imaginés? En l’absence de contact, les heures s’écoulent lentement, me laissant seule avec mes pensées. Chaque seconde semble s’étirer, comme un fil fragile prêt à se briser. Je me sens au bord d’un précipice, prête à plonger dans l’abîme de la folie. Le silence est assourdissant, l’absence de sensation est un vide oppressant.

J’attends, dans cette obscurité, un contact, une preuve que je ne suis pas seule. L’attente est interminable, un supplice silencieux et vide. Puis, enfin, un contact se fait sentir à nouveau. C’est une douleur vive, un choc qui traverse mon corps. Elle est insupportable, mais étrangement, elle me réveille. Je repère qu’il s’agit de mes seins, mes si jolis seins que j’aimais masser. Il y a comme un animal qui me les mord. Ça sert. Ça pénètre les chairs tendres de mes mamelons. Piquants et oppressants, les morsures s’intensifient et je ne sais pas quand cela va s’arrêter.

C’est un rappel brutal que je suis encore là, prisonnière de ce corps immobile. La douleur est comme un feu brûlant, illuminant l’obscurité de mon esprit. Elle me rappelle que je suis vivante, même si la vie semble si loin de moi. Chaque sensation, même douloureuse, est une preuve de mon existence. C’est une ancre qui me retient à cette réalité, même si elle est sombre et silencieuse.

La douleur monte à ma gorge, je crois. Une envie de vomir? Ils sont là, autour de moi, s’occupant de chaque partie de mon corps. Je ne peux pas les voir ni les entendre, mais je ressens leurs mouvements, leurs gestes. Les sensations viennent de partout à la fois, envahissant mon esprit. C’est assourdissant, étouffant, comme une marée montante.

Après mes seins, ce sont de douces caresses sur mes cuisses, à l’extérieur puis à l’intérieur. En même temps, encore ma bouche est sollicitée. Pas dedans. Juste dessus. Un baiser? Et puis, plus angoissant, je sens un des tortionnaires frapper mes fesses, l’une après l’autre.

J’ai envie de pleurer ou de crier mais je ne sais pas si c’est possible. Cela fait des heures, peut-être des jours, urfa escort que j’attendais ce contact, ces preuves de vie. Mais maintenant, c’est trop. Les sensations sont trop intenses, trop envahissantes. Ça monte en moi, une vague incontrôlable que je ne peux ni stopper ni fuir. Et soudain, le néant réapparaît. Plus personne? Ou alors, après ma cécité et ma surdité, je ne sens plus rien?

J’arrive encore à penser. Je crois. C’est intermittent. Est-ce que je m’endors ou alors suis-je vraiment réelle?

Cette fois je n’ai pas attendu longtemps. Les bourreaux me retouchent. C’est horrible mais la douleur ou l’humiliation me maintiennent à flot. Mes seins sont étirés durement tandis que sur mon ventre, une caresse descend. Ma bouche est envahie et mes fesses sont écartées.

Les mains ou les doigts sur mes cuisses progressent vers mon sexe et il est envahie, lui aussi. C’est dégueulasse! Pourquoi? Autour de mes seins étirés, des frissons agréables entourent mes mamelons. Sur ma bouche, une caresse. Mes fesses sont écartées et dedans, une sorte de serpent y pénètre. C’est horrible, suis-je l’objet d’une expérience extraterrestre? Mon cul est envahi et ça pulse. Dans mon sexe aussi, il y a des objets où des mains. L’afflux de sensations trouble ma conscience et je ne distingue plus rien.

Je suis piégée dans ce corps immobile, incapable de crier, de bouger. Je ne peux rien faire pour endiguer cette marée de sensations. Je n’ai d’autre choix que de me laisser submerger, de me noyer dans cette avalanche de ressentis. C’est une tempête intérieure, un ouragan de douleur, de plaisirs et de présence, qui me rappelle sans cesse mon enfermement.

Je ne peux pas dire combien ils sont. Leurs touches se mêlent, se fondent les unes dans les autres. Je ne ressens que les sensations qui me transportent, qui m’enveloppent comme une couverture lourde. Elles sont partout, sur ma peau, dans mon esprit, me rappelant que je suis encore là, prisonnière de cette condition.

Je me demande ce que j’ai fait pour mériter cela. Qu’est-ce qui m’a conduit ici, dans cette situation insoutenable? Mais la réponse m’échappe. Mon esprit est flou, embrouillé par le manque de repères et l’abondance de sensations. De multiples sensations colonisent mon sexe de femme. C’est tellement bon. Je me souviens qu’avec mon amoureux, à ce moment là, j’avais besoin de dire ou d’entendre quelque chose pour que la libération explose. Mais là, Je suis prisonnière de ma frustration.

Je ne me souviens pas. C’est comme si une partie de moi s’était éteinte, laissant un vide béant rempli de questions sans réponses. Les sensations sont tout ce qu’il me reste, mon unique lien avec une réalité que je ne peux plus saisir. C’est une torture douce et amère, un rappel constant de mon isolement et de mon impuissance.

La montée des sensations ne cesse de grossir, comme une marée implacable. Elles m’envahissent, remplissant chaque recoin de mon être. Ma poitrine, mes tétons, mon clitoris, mes lèvres, mon vagin, même mon cul, ma bouche et, je crois, toute la surface de ma peau sont soumis à la volonté de mes tortionnaires. Tout mon corps résonne sous cette pression, et ma tête semble prête à exploser. C’est une symphonie discordante de douleurs et de sensations, un chaos sensoriel qui m’écrase.

C’est pire que l’absence, pire que le vide qui menaçait de me précipiter dans la folie. Ici, il y a trop de tout : trop de sensations, trop de douleur, trop de présence. Chaque nerf est à vif, chaque cellule de mon corps crie sous cette avalanche.

Ce plein est pire que le néant. Ou alors c’est pareil. Le temps et l’espace s’y dissout. Sur ma zone G ça vibre depuis longtemps… depuis toujours? Je deviens folle, folle de désir, folle que ça explose et que je jouisse pour me libérer de ses sensations. Je suis submergée, incapable de fuir ou de résister. C’est une tempête intérieure, un ouragan qui ravage tout sur son passage. Je ne peux qu’attendre que ça passe, espérant un répit, une accalmie dans ce tourbillon infernal. C’est une torture sans fin, une épreuve qui me laisse épuisée, vidée, à la merci des sensations sivas escort qui continuent de déferler.

Ce n’est pas possible! Ça monte encore. Dans mon cul, ça fourrage et cette douleur se mut en une piquante envie d’exaltation. Ma bouche est sollicitée et cette caresse m’irrite par sa douceur. Mes seins sont la proie d’une torture horrible. Le droit est sucé, caressé. Le gauche est mordu, pincé. Dans ma chatte s’en est trop! Le fond de ma matrice est percuté quand mon clitoris est tourmenté avec une telle dextérité que même ma zone G ne me donne pas autant de plaisir.

Je n’ai jamais été croyante. Mais là, je prie pour que l’orgasme me terrasse. Et, soudain, semblant venir du fond de mon inconscient, une sensation nouvelle, forte, étouffante, gonfle et empire. Tout mon cerveau en est rempli. Une jouissance que je ne peux pas crier, que je n’exprime pas mais qui me submerge sans mon consentement. Un tsunami immense qui part de toutes les parties de mon corps. Mes fesses, mon dos, mes seins et ma chatte.

Ça dure. C’est long. Dans mon échelle détériorée du temps, c’est interminable. Puis, tout s’effondre. Plus de conscience. Néant. La vibration des puissants orgasmes s’estompe.

Quand ma conscience revient, je suis perdue. Je ne sais plus depuis combien de temps les sensations se sont arrêtées. Le temps s’est écoulé, mais je ne sais pas combien de minutes, d’heures ou de jours se sont évanouis dans l’oubli. Il n’y a plus de repères, plus de balises pour me guider. Puis, le temps lui-même disparaît, s’efface comme un mirage. Plus de mouvement, plus d’espace. Ma conscience vacille, déraille, glissant dans un néant sans fond. Tout devient flou, indistinct. Les contours de la réalité se dissolvent, laissant place à un vide oppressant.

Clic. Clac!

Putain… j’entends. C’est le premier son qui me parvient, un bruit métallique, comme des boucles qui s’entrechoquent. C’est brutal, surprenant après tant de silence que le silence n’existait plus. La lumière filtre à travers mes paupières fermées, et je suis éblouie. Tout est si intense, presque douloureux. Je tente de bouger, juste un peu, et je sens mon corps répondre, très faiblement.

Il me faut beaucoup de temps pour revenir à moi. Les sensations sont étranges, comme si je redécouvrais chaque mouvement, chaque geste. C’est lent, laborieux, comme si mon esprit et mon corps étaient des inconnus qui apprennent à se connaître à nouveau. Les minutes passent, peut-être des heures, je ne sais plus.

Je finis par ouvrir les yeux, et je regarde autour de moi. Personne. Juste une pièce vide, mais elle me semble familière. Je reconnais les contours, les ombres. C’est comme un rêve dont les détails s’effacent à mesure qu’on tente de s’en souvenir. Cette pièce, je la connais, mais d’où? Je ne parviens pas à me rappeler. C’est un étrange sentiment de déjà-vu, mêlé à une inquiétude sourde. Où suis-je? Que s’est-il passé? Je ne sais pas, mais la réalité commence à se reconstituer, morceau par morceau, autour de moi.

Mon corps a mal. Je n’ai pas rêvé mes sensations car les stigmates sont encore là. Jaillissant dans ma mémoire, je reconnais enfin cette pièce. C’est ma chambre, celle de mon enfance. Les souvenirs affluent, me ramenant à cette époque lointaine où je vivais dans le château de ma famille. J’avais quitté cette chambre pour suivre ma propre voie, loin d’ici, avec mon amoureux. Mais maintenant, je suis de retour, sans comprendre comment.

Soudain, j’entends une clé tourner dans la serrure de la porte. Mon cœur s’accélère. La porte s’ouvre lentement, et la silhouette d’un homme se découpe dans l’embrasure. Je cligne des yeux, tentant de distinguer ses traits. Cela me prend un moment, mais finalement, je le reconnais. C’est mon père.

Il se tient là, immobile, et me regarde. Son visage est marqué par les années, plus sévère que dans mes souvenirs. Une vague d’émotions m’envahit : la surprise, l’inquiétude, et quelque chose de plus profond, de plus ancien. Je ne sais pas quoi dire, quoi penser. Tout semble irréel, comme si j’étais encore dans un rêve. Mais c’est bien lui, et cette réalité tekirdağ escort m’ébranle. Que fait-il ici? Que fait-il dans ma chambre alors que je suis nue sur mon lit? Les questions se bousculent dans ma tête, mais je reste silencieuse, attendant qu’il parle, qu’il explique cette situation inexplicable.

Fille : Pourquoi… Pourquoi suis-je ici? Qu’est-ce qui m’est arrivé?

J’entends ma voix comme pour la première fois.

Père : Tu es revenue chez nous, là où tu aurais dû rester. Ton départ, ta fuite… Tu as trahi la famille, nos traditions. Ce que tu as vécu était un châtiment pour tes choix.

Fille : Un châtiment? Tu veux dire que tout ça… cette horreur… c’était intentionnel?

Comme mon père approche du lit, je cache ma poitrine avec mon bras et mon sexe avec une main. Je suis trop faible pour me lever.

Père : Oui, c’était nécessaire. Tu devais comprendre les conséquences de tes actions. Tu as quitté notre maison, abandonné notre héritage, pour suivre un chemin qui n’était pas le tien.

Fille : (Les yeux se remplissant de larmes) Comment as-tu pu? Je ne suis pas une criminelle, je suis ta fille! Tu m’as enfermée dans cet enfer, tu m’as fait ressentir… rien. C’était inhumain!

Père : Parfois, des mesures drastiques sont nécessaires pour rappeler l’importance de nos traditions. Mais ce n’était pas seulement un châtiment. C’était aussi un rituel. Une épreuve pour te dresser, pour te ramener sur le bon chemin.

Fille : Un rituel? Tu veux dire que tout ça était… du dressage? (Je secoue la tête) C’est insensé. Comment peux-tu croire que cette torture ….?

Père : Un rite ancien, pour expier les erreurs. Tu devais te détacher de tout ce qui t’éloignait de notre famille, de nos valeurs.

Fille : (Les yeux brillants de colère) Et tu penses que m’isoler, me couper du monde, était la solution? C’était humiliant, dégradant! Comment as-tu pu penser que ça m’aiderait? Je crois que j’ai été violée.

Père : Ce rituel est une tradition qui a aidé notre famille depuis des générations. Il t’a ramenée ici, où tu appartiens. Les femmes de notre famille sont au service des hommes de la famille.

À ce moment-là, la porte s’ouvrit. Mes deux grands frères suivis de mon oncle Charles entrèrent dans ma chambre. J’essayais de me soustraire à leur regard sur ma nudité mais bouger était encore difficile. C’est quand mon grand-père entra en dernier que je fondis en larme.

Père : Nous avons tous jouit de toi, de ton corps. Je t’ai nourri depuis l’enfance. Toutes les activités sportives dans lesquelles je t’ai inscrite n’ont eu pour but que tu deviennes la magnifique femme que tu es aujourd’hui.

Je pleurais et tremblais alors que les hommes commençaient à entourer mon lit où j’étais nue.

Père : (Posant sa main sur mon pied) Tu seras notre femme, à tous. Tu nous serviras. Nous te baiserons comme nous le voudrons, quand nous le voudrons.

Fille : (En hurlant) NOOONNN

Père : Si tu es récalcitrante, nous te replongerons dans le néant.

Mon propre père me caressait la jambe et mon mollet. C’était agréable mais horrible. Je ne veux plus jamais revivre cette expérience. Le simple souvenir de cette sensation d’enfermement, de ce vide oppressant, me glace le sang. C’était comme être enterrée vivante, piégée dans un tombeau de silence et d’obscurité. Chaque instant passé dans cet état était une torture, un rappel cruel de mon impuissance. Je ferais tout pour m’épargner cette agonie, pour éviter de retomber dans ce néant. Ce n’était pas seulement une absence de sensations, c’était une absence d’existence, une disparition totale de tout ce qui fait de moi une personne. Le simple fait d’y penser me donne des frissons, me remplit de terreur.

Je regarde tour à tour les hommes de la famille. Mes frères qui rigolent en lorgnant ma poitrine que je ne cache plus, mon vieux grand-père qui déboucle son pantalon de velours, mon oncle et mon père qui passent leurs mains sur mon corps de femme.

Je suis prête à tout pour éviter de sombrer à nouveau dans cet abîme. Je ne veux plus jamais ressentir cette solitude absolue, cette angoisse sans fin. Je veux vivre, pleinement, sans cette peur constante de disparaître dans le néant. Je veux m’accrocher à la vie, même si elle est horrible, même si elle est douloureuse parfois. Tout est préférable à ce vide, à ce rien.

Et je prends leur bite qui me possèdent entièrement.

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